Mala, chapelet bouddhiste 108 perles de cristal de roche. Représentation du Bouddha hotsell médecine en cristal de roche. Amazonite, argent 925

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Mala, chapelet bouddhiste 108 perles de cristal de roche. Représentation du Bouddha hotsell médecine en cristal de roche. Amazonite, argent 925, Mala chapelet bouddhiste 108 perles de cristal de roche de qualité gemme en provenance du Brésil.
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Mala, chapelet bouddhiste
108 perles de cristal de roche de qualité gemme en provenance du Brésil. Dimensions de chaque perle de 6mm
Représentation du Bouddha médecine en cristal de roche également du Bresil. Dimensions du pendentif de 57/37mm
Amazonite
Compteur traditionnel hotsell en argent 925 avec dorje (vajra) et drillou (cloche) en finition.

Mala assemblé sur cordon traditionnel, tresse de 5 fils représentant les 5 couleurs des 5 bouddhas de méditation.

Réalisé à la commande, temps de réalisation après commande environ d'une dizaine de jours

En tant que gemmologue diplômé de l'Institut National de Gemmologie de Paris, toutes nos pierres sont expertisées et certifiés.

En tant que Malakara, nous confectionnons nous même l'ensemble de nos malas en respectant scrupuleusement la tradition.

Le mala, trengwa, en tibétain est le rosaire du bouddhiste, l'objet dont le moine (voire le pratiquant laïc) ne se sépare presque jamais, le tenant à la main ou enroulé autour du poignet.
Le mala est tout d'abord un onjet utilitaire: il sert de support tactile à la récitation des mantras, en même temps qu'il est utilisé pour les compter si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini.
Le mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il signifie simplement "guirlande" (de perles). Les différents composants recèlent chacun une signification symbolique précisent: La grosse perle (ou tete de bouddha) qui clôt la boucle repésente la connaissance de la vacuité. Le petit cône quila surmonte est la marque de la vacuité elle-même.

Sur le plan pratique, un mala en cristal de roche selon la tradition bouddhiste et sur le plan spirituel, éloigne les influences néfastes, protège du mal, purifie l'âme, aide à développer le don et ouvre la voie pour atteindre le but que l'on se fixe.
C'est un récepteur de premier ordre, très efficace pour la méditation, la médiumnité, la voyance, qui peut servir de bouclier de protection.
Le cristal de roche donne de l'énergie au corps, maintient les chakras sur le plan énergétique, aligne les corps subtils, et aide aussi à lever certains blocages.

La carrière de bodhisattva de Bhaishajyaguru, le bouddha médecine est décrite dans le Bhaiṣajyaguru-sūtra, Il a fait douze vœux, dont deux expriment spécifiquement son désir de guérir et de sauver. Il devint bouddha dans un monde nommé Vaidūryanirbhāsa ou « Semblable au lapis-lazuli ».

situé à l'Est, où il est accompagné des bodhisattvas Sūryaprabha (Clarté solaire), à sa gauche et Candraprabha (Clarté lunaire) à sa droite. En Chine, on se réfère à la version du sūtra traduite par Xuanzang : Bhaiṣajya guru Vaidūrya Prabhāsa Pūrva praṇidhāna viśeṣa vistara (Yàoshī liúlíguāng rúlái běnyuàngōngdé jīng 《藥師琉璃光如來本願功德經》).

Comme Akshobhya, Bhaiṣajyaguru est maître d'un « paradis oriental » et peut former une paire avec Amitābha, maître du « paradis occidental » Sukhāvatī. Le paradis d'Amitābha est d'ailleurs mentionné dans le Bhaiṣajyaguru sūtra.

Selon le Sapta tathāgata-Pūrva praṇidhāna viśeṣa vistara (Soutra du vœu des sept tathāgatas) , Bhaśajyaguru possède sept émanations représentant sept modalités différentes de guérison ou de protection.

Au Tibet son image peut servir de support de méditation pour vaincre l'attachement et les sentiments négatifs.

le Bouddha de la Médecine ou Sangyé Menla (en Tibétain) est une divinité tantrique du Bouddhisme tibétain.
La méditation tantrique de Sangyé Menla a été introduite au Tibet au viiie siècle par Shantarakshita. Cette méditation a été synthétisée au xixe siècle par Jamgon Kongtrul Lodrö Thayé. Son mantra est considéré comme ayant une grande force contre les maladies physiques ou pour purifier un karma négatif.

Au Japon, Yakushi Nyorai fait l'objet d'un culte important au Japon depuis le viie siècle où il a supplanté Akṣobhya (Ashuku). Situé à l'est il représente plutôt le soleil levant, la vie, tandis qu'Amida qui se trouve à l'ouest est relié au soleil couchant et au monde des morts.

Patronné par l'école Tendai qui entretenait des relations étroites avec la famille impériale, ce bouddha maître de l'Orient fut associé à l'empereur. Il a parfois été identifié à Jizo. Il est le 7e des treize bouddhas de la tradition du bouddhisme shingon, et en tant que tel est associé aux rites funéraires qui ont lieu à l'issue des 49 jours après le décès.

Dans les représentations, et les mandalas particuliers qui lui sont consacrés, il est assisté par Nikko le boddhisattva de la lumière solaire et gakko de la lumière lunaire. Il est aussi protégé et servi par 12 généraux célestes, des yakshas qui peuvent avoir plusieurs significations, comme les heures, les mois, les directions, etc. Néanmoins il ne figure pas sur les mandalas taizōkai et kongōkai car son culte n'est pas d'origine tantrique. Parmi les nombreux temples qui lui sont consacrés, le plus célèbre est le Yakushi-ji de Nara. Dans cette même ville, le Hōryū-ji et le Tō-ji abritent également une statue du Bouddha de la médecine, celle du Hōryū-ji datant du milieu du viie siècle.

En Chine, il est révéré pour ses vertus de guérisseur et de protecteur contre les calamités.

Le rite le plus courant consiste à lire 49 fois son vœu, à allumer 49 lampes votives et à étendre 49 jours de suite des Drapeaux de prières en papier.

Il existe très peu de temples qui lui sont exclusivement consacrés. Le groupe des huit bouddhas médecins, ses sept émanations accompagnées de Shākyamuni, peut être remplacé par un autre groupe comprenant Manjushri, Maitreya, Avalokiteśvara, Mahāsthāmaprāpta, Akṣayamati, Ratnacandanapuṣpa, Bhaiṣajyarāja, et Bhaiṣajyasamudgata, (文殊師利 ; 彌勒; 觀世音 ; 大勢至 ; 無盡意 ; 寶檀華 ; 藥王 ; 藥上).

Le Vajra, en tibétain dorjé. C'est sans doute le symbole le plus important du bouddhisme tibétain. Le terme signifie "diamant" et désigne la nature indestructible de l'esprit en soi, l'éveil, qui est à la fois impérissable et indivisible. Le petit sceptre semble être, à l'origine, le foudre de diamant du dieu Indra, c'est une marque de royauté et de puissance.

1° les cinq pointes supérieures représentent les cinq sagesses, cinq facettes du diamant qu'est l'esprit éveillé:

la sagesse semblable au miroir, qui signifie que l'esprit éveillé, tout comme un miroire parfaitement poli, reflète nettement toutes choses, possède la capacité de tout connaître, sans aucune confusion.

la sagesse de l'égalité, qui reconnaît que tous les phénomènes du samsara (me monde ordinaire) et du nirvana (les champs purs ou paradis des bouddhas) sont d'une nature égale en ce sens qu'ils sont d'une essence unique: la vacuité

la sagesse de la distinction, qui dénote que l'esprit éveillé perçoit non seulement la vacuité de tous les phénomènes (ce qu'opère la sagesse de l'égalité) mais aussi, dans une simultanéité sans confusion, tous les phénomènes tels qu'ils se manifestent;

la sagesse accomplissante, qui permet aux bouddhas de créer des champs purs et des émanations oeuvrant pour le bien des êtres;

la sagesse de l'espace universel, qui indique que tous les phènomènes, au-delà de tout concept et de toute dualité, demeurent dans la connaissance pure de l'esprit.

2° En même temps que les cinq sagesses, ces cinq pointes supérieures symbolisent les Cinq Vainqueurs ou cinq principaux Bouddhas Masculins sur un plan mystique. Les cinq pointes inférieures symbolisent les Cinq Bouddhas Féminins.

3° Les bouches de makara (monstre marin) dont émergent les pointes dénotent la libération du cycle des existences.

4° Les huit pétales supérieures représentent les huit bodhisattvas masculins, autrement dit huit grands bodhisattvas demeurant dans des domaines célestes.

5° Les huit pétales inférieures sont les huit bodhisattvas féminins.

6° La partie ronde au milieu désigne la vacuité.

La cloche, en tibétain drilbou. Elle symbolise, d'une manière générale, la vacuité (la vacuité ne signifie pas que rien n'existe, mais que les phénomènes n'existent pas tels que nous les percevons en raison du voile de l'ignorance qui recouvre notre esprit).

1° Sa partie creuse représente la vacuité et son battant le "son" de la vacuité (c'est-à-dire sa dynamique contenant potentiellement la manifestation)

2° Le lotus à huit pétales symbolisent les huit bodhisattvas féminins, associés à l'idée de vacuité comme toutes les divinités féminines.

3° Le vase contient le nectar des accomplissement.

4° Le visage sur le manche est celui de la divinité féminine Prajnaparamitam symbole de la connaissance de la vacuité.

5° Le vajra renferme son propre symbolisme tel que vu plus haut.


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